"Comme Evariste, François-Henri, vingt-sept ans, est pressé, audacieux ; il ne dédaigne ni les anachronismes, ni les anglicismes, ni les bons mots. Sa plume est alerte, impertinente et coquine. On ne lui connaît pas de goût pour les duels. Il ira loin." L'article en ligne.
Réponse, dans La Grande Librairie, à la question : "Quel est le rôle de l'écrivain ?" http://youtu.be/aAZWVF1IIJs
François-Henri Désérable, un nom qui fleure bon sa Belle Province. Erreur : natif d'Amiens, Désérable n'est en rien québécois, mais il est bel et bien hockeyeur. Professionnel, de surcroît. Voilà qui est original, tout autant que les inspirations de ce jeune homme de 28 ans qui publiait, il y a près de deux ans, un... Lire la Suite →
Les « littéraires » sont censés être hermétiques, voire allergiques, à tout ce qui se rapporte aux mathématiques. Or votre roman raconte la vie d'un des plus grands, mais peu connu, mathématiciens. J'imagine que ce ne sont pas ses théorèmes qui vous ont passionné. Qu'est-ce qui vous a intéressé et séduit chez Évariste Galois ? C’est vers... Lire la Suite →
En ressuscitant Évariste Galois, François-Henri Désérable, jeune écrivain de 27 printemps, se projette dans la légende d’une figure échevelée et fait résonner, dans une prose aussi espiègle que maîtrisée, l’un de ces envers de l’Histoire cher à Balzac. La suite de l'article est ici.
On a parlé d'Évariste Galois et... d'Eminem dans la Matinale Culturelle de Vincent Josse, sur France Musique. Oui, d'Eminem. L'émission est à réécouter ici.
La Grande Table de Caroline Broué recevait aujourd'hui deux écrivains : Miguel Bonnefoy, qui signe Le Voyage d’Octavio (Payot et Rivages, janvier 2015), et François-Henri Désérable, qui publie Évariste (Gallimard, janvier 2015). Pour écouter l'émission, cliquez ici.
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